Il ne lui restait que très peu de temps avant l'impression finale du journal du matin. Il avait profité de la marche de la gallerie d'art au journal pour écouté les bandes sonore et noté les grandes lignes de son articles. Il allait sans doute battre un record de vitesse. Avoir un ordinateur portable lui avait toujours été une option mais malheureusement, en ce moment et comme toujours c'était loin d'être dans son budget.
Le cloverdale sun était une ancienne usine. Le bâtiment avait été laissé à l'abandon quelques années après la guerre. Le cloverdale sun était né de cet immense bâtiment de dix étages pour nourrir de quelques lignes les hommes d'affaires de la ville. Traversant le parking extérieur on pouvait entendre les machineries qui imprimait déjà certaine page du journal. Le temps étaient plus restreint qu'il ne le croyait. Autant ce dépêcher et faire de son mieux. Il dévérouilla la porte de sa carte magnétique et entra dans le bâtiment.
Il avait jeté ses films a faire développé dans un sac plastique avant d'y écrire sont noms et son numéro de poste. Il le déposa sur un comptoir en poursuivant sa route aussi vite que possible. Il croisait les doigts que les films seraient développé à temps. Il était sans doute un des derniers qui n'avait pas encore un appareil numérique mais il n'avait jamais pu ce passé des films standard. Le budget en était encore responsable.
Préférant les escaliers à l'ascenseur. Il monta les marches quatres à quatres pour ce rendre au cinquième étages. C'était l'étage des bureaux offerts au pigiste, au freelance et aux administrateurs qui n'avait pas la chance d'avoir un vrai bureau. Sans séparation les bureaux était alligné comme de brave soldat offrant le stricte minimum au travailleur. Tim entra son code à une des consoles de travail avant de ce faire offrir un menu de tâche. Il s'installa confortablement avant de commencer à écrire.
Il remarqua que plusieurs autres journalistes étaient dans la salle. Il y avait un homme qui était sans doute tout aussi dans la merde que lui. ll avait un crayon serré entre les dents et tel un virtuose du clavier, tappait avec frénésie son clavier. Deux autres personnes étaient à un poste plus loin et échangeait des idées tout en pointant à tour de rôle un écran.
Tim inspira une dernière fois à fond avant de ce mettre au travail.
Il commença par un travail facile. La fameuse bibliothèque vandalisé. Il écrivit simplement qu'un groupe de vandale était entré pendant que les membres du personnel c'était absenté et avait créé un chaos volontaire. Les images prouverait sans doute ses dires. Un bon samaritain de la ville monsieur Drekkar. Offrira ses propres fonds à la ville pour réparé les dégâts et assuré que la bibliothèques puissent récupérer les livres endommagés dans les plus brefs délais.
C'était difficile d'écrire ses mots. Quand on savait pertinament que la réalité était autre chose. Mais il lui était impossible de convaincre avec si peu d'argument le 90 %. Il pouvait tout aussi bien écrire qu'elvis et le loch ness était la même personne ou que le père noel était un extra terrestre. l'impact était le même. Les gens n'appréciait merlin que dans les livres et si l'histoire ce terminait bien il s'en portait que mieux. Pour réussir à prouver l'existence de la magie il aurait fallu qu'un godzilla ravage la ville. Mais c'était improbable.
Le deuxième articles lui donna du fil à retordre. Avec seulement les souvenirs de ses propres photos il lui était difficile de choisir adéquatement comment écrire l'articles. La bande sonore ne l'aidait en rien. La gallerie d'art était ce qui lui donnerait son pain pour la prochaine semaine et il avait si peut de temps pour écrire une merveille. Il prit le temps de décrire les gens important qui était présent durant cette soirée. Il apporta la même dévotion pour décrire le buffet et le service qui était plus qu'impeccable. Le maître d'assemblé qui offrit un discour à la hauteur de la soirée. Sans parlé des tenus portés par les visiteurs qui offrait une diversité aussi grande que les designers qui désirait qu'on montre autant leurs oeuvres. Puis les peintures. Il offrit la liste des exposants et les oeuvres maîtresses de chacun d'eux. Quelques photos lui offrirait un support adéquat. Il pouvait sans cesse ajouter des détails mais les gens voulait surtout avoir l'impression d'y être allé; Beaucoup d'image. Il était payé après tout pour l'espace utilisé dans le journal et pas pour les lignes. Une conclusion classique et le tour était joué. Sans doute. Il virifia les fautes et activa le correcteur pour s'assurer que tout était en odre. Les photos lui fût envoyé à son ordinateur quelques instans plus tard. elles étaient parfaite. Seule certaine photo de vedette n'avait pas été très bonne. Il numérota les photo qu'il acceptait et ajouta les numéros dans les cases laissés vacantes pour l'occasion.
Il ce permit d'inséré parmis les photos des gens qui avait marqué la soirée la dame en rouge. Elle avait sans doute beaucoup influencer les lecteurs par sa pose élégante et sa méditation devant une peinture. elle avait sans doute beaucoup plus d'impact que de riches acheteurs qui achetait les tableaux pour leurs valeurs marchande. Il ce permit même d'envoyé plusieurs d'entre elle à sa propre addresse e-mail. histoire d'avoir une copie réutilisable. Il envoya ensuite toute les photos aux archives.
- Les archives !
Il c'était levé sans vraiment le savoir. Les archives contenait les images et les registres des articles depuis la création du journal. Numérisé, elles restaient toujours disponible aux journalistes qui cherchait à complété un articles avec d'ancienne photo ou une mise à jour avec des événements récents. C'était la voûte. L'endroit par excellence pour trouver des réponses. Si des informations avaient été écrite dans le journal il était certain que des traces du 10 % devait s'y trouvé.
Il termina en vitesse les deux articles et appuya sur enter. Les envoyer au bureau des dernières vérification était la dernière chose qu'il pouvait faire. Il était certain qu'ils allaient parraître dans le journal du lendemain. Son travail était terminé. Il remarqua que son voisin avait aussi terminé. Il avait déserré les dents et fumait une cigarette dans cet endroit qui était pourtant non fumeur. Tim avait aussi envie d'en brûler une mais il avait d'autres choses a faire.
Il ouvrit une session dans les archives et inséra denouveau son mot de passe. Pour le choix des recherches il n'avait pas écrit d'information. Il voulait fouiller tout dabord dans toutes les archives avant de faire des recherches plus spécifique. Il allait sans doute avoir de quoi lire pendant les deux ou trois prochaines semaines. Il s'offrit le luxe d'un café avant de commencer ses recherches.