Virtual Video

En se relevant la petite cria en direction du video club a qui voulait bien l'entendre :

-Mais c'est pas mon frere! C'est qu'un gros menteur! Je le connais pas moi d'abord!

Elle etait enervee et les larmes perlaient encore le long de ses joues rouges.

Elle n'ecouta meme pas roy qui venait de clamer au beau milieu d'une rue qu'il aurait voulu faire d'elle une voleuse et qu'il retournait a ses activites. Un bon voleur doit commencer par etre discret. Apparemment, si lui voulait un bon eleve, il etait en revanche loin d'etre bon professeur.

La petite estima a peu pres ou la boite aurait du tomber en la lachant mais ne vit rien, ni au sol, ni dans les mains de qui que ce soit. A l'ecole elle aurait pu se pleindre aupres de la maitresse, mais au beau milieu de la rue elle savait bien que personne n'y ferait rien.

Son nouveau jouet perdu, elle estima avoir subit asses d'humiliations pour l'heure et commenca a remonter lentement la rue en direction du centre ville. Elle essuyait regulierement ses yeux et ses joues de sa manche devenue tellement humide qu'on pourrait croire qu'elle l'avait plongee dans une bassine remplie d'eau.

Il remarqua très rapidement le nouveau propriétaire de la boîte. Voyant qu'il était suivit il accéléra afin de perdre ses poursuivants. Tim connaissait très bien ce petit jeu. Et il se savait depuis le début de la poursuite victorieux.

Il existe plusieurs règles de base. La distance. Il ne faut pas tenter de rattraper l'individu trop rapidement. Il possède une longueur d'avance il faut profiter de chaque distraction de la proie pour l'atteindre.

Le pas. Il faut clairement indiqué à l'individu qu'il est poursuivit dans le cas d'une poursuite. Il faut donc que le pas soit décalé avec celui-ci afin de pouvoir l'entendre. Dans le cas d'une filature il faut au contraire marché sur le même pas pour feutré le sien.

La cible. Elle ce sait poursuivit. Elle cherche un moyen de s'enfuir. tant que c'est son option principale elle va sans le savoir indiqué des futurs obstacles a son poursuivant. Ses accélérations subitent ou ses déviations vont indiqués ses choix qui risque d'être les même pour le poursuivant.

Chaque erreur est à l'avantage du poursuivant. Il ne lui faut que gardé le rytme et attendre que l autre ce fatigue.

Dans le cas où les traces de l'individus cesse. La chasse est presque terminé. Il ne faut pas débusqué trop rapidement le lièvre il pourrait utilisé la surprise contre le chasseur. Il faut simplement faire comme lui et attendre qu'il ce montre le premier.

Le dernier recourt est la confrontation. À défaut d'avoir réussit a ce défaire de son poursuivant il ne restait qu'à l'éliminé. le point faible restait la poitrine et la gorge. empêcher l'adversaire de respiré. Après autant d'effort c'était la meilleur chose à faire. l'adversaire ne pouvait que s'affaiblir encore plus vite.

Pour le moment ce n'était que de la théorie. Connaissance accumulé et bribe d'information. Il ne lui restait que de la mettre en pratique. De respiré en profondeur et de gardé la cadence.

[Tim poursuivait parfaitement l’homme, après quelques dizaines de minutes de courses, la poursuite s arrêta enfin.]

La ruelle était sombre, l’odeur de décharge et d humidité montait dans les narines des deux hommes, empestant leurs poumons suffocants. Aucune lumière n’éclairait la rue. La simple lune reflétait doucement le sol de la rue… Laissant assez de lumière pour se percevoir…

L’homme était fasse à un mur. Un Cul-de-sac… Il se retourna alors. Se campant parfaitement sur ces jambes. L’homme semblait plutôt athlétique, et prêt a répondre par les mains si son poursuivant s’approchait de trop près.

Tim avait réussit par chance à avoir le dessus. Mais c'était très superficiel comme victoire. Le type avait une excellente constitution. Comme il avait montré une faible endurance il devait faire de l'altérophilie.

L'objectif restait le même. la boîte. De toute façon pour un match de boxe avec ce type je pari à 5 contre 1 sa victoire. Il ne lui restait que de trouver une astuce pour avoir le dessus. Tim jeta un bref coup d'oeil autour de lui pour remarquer un objet qui ferait office d'arme dans le cas d'un échec des négociation. Une simple pierre ferait l'affaire. Tout en récupérant un peu. Tim ouvrit la parole.

Désolé d'avoir été long. Il y a un traffic monstre ya pas a dire ! Écoute ! Que dirais tu d'un thé et d'un sandwich dans un café branché. C'est moi qui paye. Je voudrais juste enfin pouvoir avoir ma boîte.

Tim n'avança pas. Profitant de l'obscurité à son avantage. Cherchant toujours discrètement autant une arme d'urgence ( hrp sans la ramasser ) que d'une astuce.

Une voix aigue, et calme sorti de la voix de l’homme.

« Je vois que cette petite course t’as épuisé… tu as raison va prendre une boisson, pour ma part je vais continuer mon chemin… Cet objet n’est pas pour toi… jamais il n’aurait du refaire surface. Il appartient aux morts… »

L’homme pris alors une impulsion immense, et Tim eut juste le temps de le voir disparaître dans le ciel nocturne, il n’en restait déjà plus qu’une petite tache…

L'homme semblait moins épuisé qu'il en avait l'air. C'était dommage les cartes ce retournait en sa défaveur au fil des événements. L'homme parla d'une voix clair mais d'un accent plutôt féminin.

« Je vois que cette petite course t’as épuisé… tu as raison va prendre une boisson, pour ma part je vais continuer mon chemin… Cet objet n’est pas pour toi… jamais il n’aurait du refaire surface. Il appartient aux morts… »

Tim avait cligné des yeux une fois de trop. Une migraine le frappa de plein fouet. Et pendant ce bref instant, le type c'était envolé. Il était là ensuite dans le ciel. C'était simplement incompréhensible. Il s'avança discrètement dans la ruelle. Fouilla, cherchant un système de poulie où un principe qui pourrait expliquer logiquement ce qui venait d'arrivé.

Mais rien. Que la nuit au dessus de lui. Que le son du silence et les bruits de la ville au loin. Impossible de grimpé le mur. Aucune autre sortie possible. Tim s'adossa au mur. A l'endroit exacte où c'était trouvé l'homme quelques minute plus tôt.

Fouillant dans ses poches il ne trouva pas d'aspirine. Une maigre consolation s'offra tout de même. La cigarette à la bouche il l'alluma avec tendresse. jeta l'allumette après l'avoir regardé brûlé au loin. Il fuma dans l'obscurité silencieusement.

La porte du Virtual video s'ouvra. Un homme ce trouvait dans L'embrasure. Les vêtements sales. Le visage blême. Une odeur nauséabonte ce dégageait de lui. Un mégot de cigarette éteint au coin de la bouche. Il s'approcha de son coin ordinateur pour y prendre son sac, ses chaussures et son manteau. Il ne prit pas la peine de mettre ses chaussures. Il ne pensa même pas à saluer les usagés du virtual. Gardant son regard éteint et sa démarche quasi cadavérique. Il quitta tout aussi rapidement le virtual.

[ entre chez lui dans la banlieu ]

Totalement déboussolée par la rapidité des évènements Ambre n'a pas le temps de réagir et regarde l'homme partir avec la boite et Tim le poursuivre. Son regard tombe sur le poste qu'elle a quitté suite à la mésaventure de Chloé. Finalement elle s'en est plutôt bien sorti avec Internet et n'est pas mécontente de son expérience virtuelle. Elle se dirige vers le jeune homme que l'homme qui l'a aidé avait appelé Gary et lui sourit gentiment avant de lui laisser un pourboire.

-Je pense m’inscrire je me suis bien amusée jusqu’a l’arrivée de cette gamine……….. J’espère qu’elle n’est pas l’une de vos habituées !

-Ho non rassurez vous mademoiselle …………. Tenez donnez moi juste votre nom, prénoms, date de naissance et adresse que je puisse valider votre inscription !

Il semblait vraiment content qu’elle s’inscrive et soupire intérieurement en espérant qu’il ne sera pas lui aussi un des nombreux indésirables qui lui envoyait des mots doux.

-Loreena Gonzilona, née le sept août 1983 et j’habite au 4571 Rodéo Avenue……..

Elle n’avait pas donné sa véritable identité ni son adresse mais celle du studio qu’elle avait loué pour éviter les importuns ou les questions administratives. Une fois les données entrées elle le remercie et s’apprête à sortir.

-Vous remercierez le monsieur qui m’a aidé tout a l’heure j’ai vu que vous sembliez le connaître !

-Bien sure je passerais le message a Tim pour vous !

Sur ses belles paroles elle sort, grand-mère lui avait promis un entraînement faramineux pour le temps qu’il lui restait a vivre, misère et dire qu’elle avait encore tellement de projet d’œuvre d’art en court ………. Mais bon la magie étant importante vu sa position elle se devait de s’entraîner quotidiennement et c’est d’un pas rétif mais noble qu’elle se dirige vers la demeure de son peuple.

(Se dirige au camps Tzigane a la foret)

Tim Salua Gary dès son entré dans le club vidéo. l'endroit était presque vide. Deux gamines fouillaient les rayons espérant sans doute trouver quelques choses qui puissent leurs plaire.

- Content de te voir Tim. Tu sais la nana de l'autre soir ! Elle est maintenant inscrit grâce à toi j'en suis sûr. J'ai déjà hâte de savoir quel est son genre de film et la conseillé longuement ! Alors si tu désires quelques choses tu n'as qu'à demandé. Mais ne le dit pas à mon père. Il serait furieux de savoir que je te fait des bonis.

- Pour le moment je vais emprunté un de tes postes. Je vais faire une petite sieste ne m'en veut pas mais dernièrement j'ai l'impression que rien ne marche.

- Installe toi Tim ! Fait comme chez toi !

Il déposa son porte document prêt de la chaise et retira tout dabord ses chaussures. Il ce laissa tomber et ce connecta. Sa boîte de courriels étaient encore une fois rempli de questions d'admirateur ou de gens pointilleux. Comme toujours. Il n'y avait rien concernant Drekkar. Sans doute sa prise de bec avec lui avait rompu pour bien longtemps leur discussion. C'était dommage dans un sens.

Allongeant ses jambes il regardait l'écran sans le voir vraiment. Ses idées étaient confuse, mais comme toujours défilaient à la recherche de réponses. La bibliothèque avait révélé quelques secrets. Mais pour un temps ne révélerait plus rien d'intéressant. Il y avait une porte ou un passage secret qu'avait emprunté drekkar et son amie. Y retourner trop rapidement pourrait soulever quelques soupçons. Autant trouver une autre alternative. Le musée ? Idée intéressante. Sans doute quelques secrets pouvaient s'y trouver. Une simple demande au responsable du musée et il aurait une permission pour quelques jours.

Les bras croisés la tête baissé. Il avait poursuivit pendant quelques minutes ses réflexions. Suffisamment longtemps pour avoir une idée des événements à suivre. Mais le sommeil l'avait enfin gagné. Le reste n'avait plus d'importance.

Coincé entre sa chaise et le bureau. Le réveil fût douloureux. Douleur au coup, fourmis aux jambes. L'heure du dîner c'était éclipsé. Il ne lui restait pas grand chose à souhaité sinon de bonne nouvelle pour commencé sa journée. Il trouva son café particulièrement froid mais lui donnait un avant goût de ce que coûtait la pauvreté. Il ne pouvait pas ce permettre de poursuivre ses recherches pour les castes sans dabord avoir un peu d'argent. Sans doute demain il pourrait recevoir son salaire pour les articles mais en attendant il devait patienter.

Une voiture de police passa en trombe et s'arrêta un peu plus loin. en regardant par la fenêtre il y avait un restaurant plus loin avec cordon de sécurité. C'était sans doute la meilleur chose à faire.

Marche jusqu'au diplomate.

Syrius entra doucement, à pas lents, regardant tout autour de lui, s'assit simplement sur une chaise devant un ordinateur, puis se mit à taper doucement une adresse, il réduit la page, ouvrit un logiciel d'animation, et se mit à dessiner, un peu plus d'une heure après, il avait enfin fini, ils enregistra son travail, et l'envoya sur le site, son site, où il envoyais toutes les semains un épisode de la série qu'il créait. Certe, c'était du travail amateur, mais il recevait des commentaires encourageants. Sa série racontait l'histoire d'un farfadet maudit, seul un être vivant pouvais le tuer, et chaque fois qu'il était tué, il vivait une journée dans la peau de son meurtrier. Chaque épisode racontait une semaine. Le concept plaisait, et l'humour faisait oublier les dessins baclés, et l'absence de son. Après avoir fini, Syrius regardait les commentaires qu'il recevait, critiques, encouragements, suggestions, puis il se connecta sur un site de chat, histoire de rencontrer du monde, ou au moins de se faire un peu de pub, en laissant un lien dans son profil. Au bout d'un certain temps, alors qu'il commençait à se faire tard, une seule personne restait parmis les gens avec qui il parlais, elle lui dit d'attendre, qu'elle revenais vite. C'est donc ce qu'il fît, Syrius attendit calmement, observant les gens autour de lui, tranquillement, silencieusement, et discrétement, éspèrent à la fois de ne pas se faire remarquer, pour éviter d'être dérangé, mais aussi que quelqun l'apperçoive, et vienne lui parler, le sortant de son ennui et de sa solitude.

[ Syrius apprends cette nouvelle par un de ses amis diables sur internet : La nouvelle]

Apprenant la nouvelle, Syrius ferma toutes les fenêtres en cours, en ouvrit une autre, vida l'historique, et s'en alla, méfiant, observant que personne ne le suive ni ne le regarde. Il se rendit au QG, directement, comme si on lui avait donné rendez-vous sur internet. Un alibi tout à fait plausible, cachant abilement sa vraie motivation.

[OULALALALALA ATTENTION A NE PAS REVELER OU SE TROUVE TON QG MALHEUREUX ^^ ya que les diables qui le savent]

Tim ce réveilla en sursaut. Après avoir jeté un rapide coup d'oeil autour de lui il vérifia si tout était en règle. Tout était à sa place. Rien n'avait changé.

Il regarda les armoiries gravé depuis peu dans sa montre. Emblème d'un groupe combattant à leur façon l'hérésie dans ce monde chaotique. Il n'avait pas l'impression d'être de cet inquisition brûlant les sorcières pour le bon vouloir d'une religion. Mais pourtant la marge était mince.

Il n'avait pas reçu de voiture à la fin de sa formation. Encore moins de bague honorifique ou de garde du corps. Une simple inscription. Pour le reste il était responsable de ses dépenses.

Sa montre l'invita à quitté l'établissement. Histoire de nourrir son corps. Grattant sa barbe longue de plusieurs jours... Il avait envie de prendre une bonne douche. Mais c'était aussi un cadeau peu problable pour le moment. Il devait avant tout exécuter son travail.